Lundi de l'INA à la BnF
Subtitle
Carte blanche à
Lamya Essemlali
Du Torrey Canyon (1967) à Fukushima (2011), en passant par Tchernobyl (1986), la médiatisation de grandes catastrophes d’origine anthropique a joué un rôle crucial dans la prise de conscience écologique. Plusieurs lanceurs d’alerte ont également écumé les plateaux télévisés. Désormais, les alarmes se succèdent et les événements qui se multiplient ne peuvent plus apparaître comme des soubresauts localisés. La succession de ces drames fait elle pour autant changer notre compréhension des enjeux ? Comment les médias peuvent-ils se mobiliser pour couvrir et annoncer ces catastrophes sans les banaliser ?